En avril, le meunier revient frayer après avoir séjourné dans le monde des esprits pour y apprendre comment purifier le nôtre. Tout en remontant le courant, il épure un chemin pour les esprits et purifie les créatures aquatiques. La vie qui jaillit dans l’eau et sur la berge nous rappelle que nous sommes tous partenaires dans cette grande expérience qu’est la vie. Que l’harmonie présente dans l’eau peut aussi se retrouver en nous. Une fois que nous en sommes conscients et sommes guéris, nous pouvons guérir les autres par notre présence et nos actions pacifiques.

La pièce idéale pour tout amateur d’artautochtone. Commandez-la maintenant!

• QUATRIÈME PIÈCE D’UNE SÉRIE DE 13! Cette pièce célèbre le quatrième enseignement de Grand-mère Lune selon la tradition des Anichinabés. Dans cette culture, on considère la lunecomme un membre vivant de la famille qui se manifeste 13 fois pendant l’année pour veiller sur les enfants de mère Nature et, grâce à sasagesse pleine de douceur, éclairer leur chemin.
• PUISSANTE REPRÉSENTATION DES THÈMES ET TRADITIONS DES ANICHINABÉS! Voici une série exceptionnelle mettant en vedette l’unedes formes d’art autochtones les plus reconnues : on l’apprécie pour sa beauté, mais aussi pour sa puissante représentation des thèmes et des traditions chers aux Anichinabés.
• FAIBLE TIRAGE! Chaque pièce est une oeuvre d'art originale dont le tirage mondial est limité à 4 000 exemplaires.
• ARGENT PUR À 99,99 %! D’une pureté exceptionnelle, chaque pièce est rehaussée d’une coloration et d’un splendide fini épreuve numismatique qui font ressortir la beauté de tous les éléments du motif.
• AUCUNE TPS NI TVH!

L’artiste algonquin Frank Polson a créé une image captivante d’une pleine lune immense dans le ciel et basse sur l’horizon, avec à l’avant-plan un arbre dépouillé. À gauche, un meunier, dont la forme épouse le cordon de la pièce, nage vers le bas. Laissant derrière lui une traînée de bulles, il se dirige vers l’arbre à sa droite. Les traits prononcés,ainsi que les couleurs vives sur des arrière-plans sombres semblant révéler le mouvement caché derrièretoute chose, sont des éléments typiques de l’art Woodland.

• Quand la température de l’eau atteint environ 10 °C, en avril, le meunier remonte l’eaupour frayer. Un mois plus tard, les jeunes poissonsgagnent le lac ou la rivière où se trouvent leurs parents. En période de fraie, même le plus petit ruisseau urbain peut regorger de plusieurs milliers de poissons, ce qui témoigne du rôle primordial que de minuscules habitats peuvent jouer dans la conservation de la nature, aussi négligeables puissent-ils sembler.
• L’eau occupe une place prépondérante danstoutes les sphères de la vie des Autochtones. Sang de la Terre mère, elle donne la vie à tous les êtres du monde. Les femmes la portent en leur sein, où commence notre existence, et entretiennent donc avec elle un rapport spécial. Ce sont d’ailleurs les femmes qui savent comment honorer et purifier cette ressource vitale.
• En raison de sa proximité, la Lune exerce sur la Terre une force gravitationnelle beaucoup plus grandeque celle du Soleil. L’effet le mieux compris de cette force est le phénomène des marées, mais la science démontre également la grande influence de la Lune sur la croûte terrestre, sur le noyau fluide de la Terre, sur l’atmosphère, et mêmesur la physiologie humaine!
• Les Autochtones d’Amérique du Nord ont recours aux cycles lunaires pour suivre le fil du temps.Souvent, ils utilisent les 13 grosses plaques qui se trouvent sur la carapace d’une tortue comme calendrier. Portant un nom distinct quireflète un changement saisonnier, chaque lune est associée à un enseignement. De nombreuses variations existent, mais l’une des plus fréquentes est le récit anichinabé des treize enseignements de Grand-mère Lune.
• Le mot « anichinabé » – qui peut être épelé et prononcé de différentes manières – signifie « êtres de bonté » ou « peuple des origines ». C’est le terme qui désigne les groupes algonquins des Grands Lacs comme les Ojibwés, les Algonquins, les Odawas, les membres de la Nipissing First Nation et d’autres. Bien que leur culture et leur langue soient similaires, ces tribus ont chacune une organisation sociale et uneidentité propres.
• L’art anichinabé, consacré majoritairement à la représentation de scènes traditionnelles, est souvent appelé l’art Woodland. On parle aussi souventd’« art-médecine » ou d’« art des légendes ».

La pièce est encapsulée et présentée dans un boîtierà double coque bordeaux orné du logo de la Monnaie royale canadienne. Le boîtier est assorti d’une boîte protectrice spéciale.

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